Oui oui, ça existe les perles chez les gendarmes...
NOUS AVONS CONSTATE...
Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.
Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher.
C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.
Quand le contrevenant a crié : "Espèce de gros con !..." dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.
L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
L'hommr nous déclara qu'il avait effectivement frappé son adversairez avec la manivelle, mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal.
L'homme avait essayé de cacher son arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.
Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux doigts.
L'animal n'a fait qu'une bouchée de la carrosserie du véhicule.
L'homme a insisté pour nous présenter son préjudice qui ne mesurait en fait, pas plus de dix centimètres.
Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'un croix.
Si nos gendarmes n'étaient pas intervenu, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.
Pour finir, l'interpelée avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.
Arrêté par les gendarmes, le voleur a menacé d'appeler la police.
Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.
Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.
Le pendu est mort noyé.
Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit à la gendarmerie.